Port Louis

Sur la plage de Kerso, trois barques à l’abandon,
Leur silhouette figée, mémoires du temps qui s’en va.
Au loin, le Loïc se dresse, témoin discret.

Le phare de Kerbel se découpe dans le lointain,
Garde lumineuse où l’horizon prend son dessin.
Dans l’encre noire, ce tableau silencieux,
Une poésie maritime, écho précieux.